
Par la Rédaction
Ceci n'est pas une question. Ce n'est pas une justification, ni une réponse. C'est tout simplement un jugement suprême, interdit aux politiciens et aux politiques.
Cette phrase assez connue exige une certaine éducation d'Etat, une application aux réalités intellectuelles, psychologiques. C’est un devoir envers la République qui ne peut se limiter aux alliances et aux mandats.
« Pourquoi j'ai choisi Vital Kamerhe » doit être pris pour un sacerdoce au nom d'une nation, afin de léguer aux esprits républicains les bénédictions d’un rêve accompli par les désirs et les souhaits d’un monde meilleur.
« Pourquoi j’ai choisi Vital Kamerhe » s’accorde en genre et en nombre avec d’autres noms impliqués dans la recherche d’une vraie paix à l’Est et dans l’Est de la République Démocratique du Congo.
On ne peut avoir de doutes en face de l’évidence !
Discuter sur le vrai et le réel ne peut venir ici, dans cet contexte apolitique qui accompagne l’État.Car, en effet, travailler pour la paix et le développement ne peut être politique. Seuls les politiciens parlent de la paix pour leurs propres intérêts mais dans cet acte de foi ici présent ;la paix précède la politique.
Voilà « pourquoi j’ai choisi Vital Kamerhe » , parce qu'il a choisi, aussi, sans me tromper, ce que j’ai choisi !
Ce que tout le monde a choisi c’est la paix avec tout leader qui a une parcelle de pouvoir et d’influence à l’Est et dans l’Est de la République Démocratique du Congo. La paix n’a pas de couleur politique mais la guerre est peinte aux couleurs des politiques.
Enfin, voilà « pourquoi j’ai choisi Vital Kamerhe » peut être aussi le résultat d’un acte de foi.
Par MAGLOIRE PALUKU, Analyste Politique et essayiste