![[ photo d'illustration ]](/sites/default/files/styles/2048_1536/public/2023-01/images%20%2813%29.jpeg?itok=copCrXTZ)
Par Fadi Lendo
La coalition Lamuka a, par le truchement de sa Coordination des Opérations Électorales ( COEL) indiqué que, la fuite en avant de la Commission Électorale Nationale Indépendante ( CENI) en rapport avec l'absence des observateurs et témoins des partis politiques dans les centres d'enrôlement est une diversion.
Lamuka dit constater que dans la cartographie de la CENI, la répartition des centres d'enrôlement et des kits dans les 26 provinces du pays est disproportionnée par rapport au nombre d'habitants par province.
" Par contre , on a découvert des centres fictifs" dit la coalition Lamuka.
Elle déclare , en plus, que dans certains bureaux ,les noms sont complétés au stylo sur les cartes.
" Plusieurs agents des centres d'enrôlement ont été recommandés par les partis politiques, membres de l'Union Sacrée. Ce qui explique la non - maîtrise des équipements" dit Lamuka.
Cette coalition dénonce, également la rupture des cartes dans certains centres d'enrôlement à l'intérieur du pays qui, selon elle, entraîne comme conséquence le non- enregistrement d'électeurs pendant plusieurs jours.
" Les problèmes multiples à résoudre pour enrôler tous les électeurs ne requièrent pas seulement une prolongation de 25 jours supplémentaires d'enrôlement. Ils nécessitent également la prise en compte de la qualité et du nombre des machines déployées ainsi que de la compétence du personnel affecté à ces opérations " lit- on.