
Par la Rédaction
Certains politiciens en mal de positionnement ont, à travers une campagne de presse commanditée, porté des accusations graves à l'encontre du député national honoraire et membre du Conseil d'Administration de la SNEL, Justin Dédé Kodoro. Des accusations dénuées de tout fondement, selon lesquelles ce dernier entretiendrait une milice et aurait été à la base des troubles et des violences survenus dans le territoire de Yakoma, lors du déroulement des élections générales du 20 décembre dernier. Ce qui a occasionné l'annulation, par la CENI -Commission électorale nationale indépendante-, desdites élections.
Et, cette campagne de presse hostile contre l'Aigle du Nord-Ubangi est menée sur base d'un mémorandum qui aurait été adressé au Chef de l'État, par un collectif de candidats dits pacifistes.
C'est un secret de polichinelle qu'une certaine presse s'est faite manipuler par les détracteurs politiques de Justin Dédé Kodoro, qui redoutent sa victoire certaine, si les élections étaient réorganisées à Yakoma.
Contrairement aux allégations mensongères véhiculées à travers cette campagne de diabolisation, Dédé Kodoro est plutôt une des victimes des décisions d'invalidation des candidats et d'annulation des scrutins, prises par la CENI et que la plupart d'observateurs ont qualifié d'irrégulières, en raison de la violation manifeste du droit de la défense consacré dans la Constitution, pour n'avoir pas du moins entendu préalablement les incriminés.
Le candidat numéro 12 aux élections législatives nationales pour la circonscription électorale de Yakoma, Justin Dédé Kodoro n'est ni de loin ni de près concerné par ce qui s'est passé le jour du vote, dans ce coin de la République.
Pour preuve, dans les rapports sur les incidents survenus à Yakoma, faits par l'Administration du territoire ainsi que par le Chef d'antenne du missionnaire de la CENI, le nom de l'honorable Justin Dédé Kodoro n'est nullement mentionné comme instigateur d'actes de violence.
La Centrale électorale a fait librement son travail, et décidé souverainement d'annuler les élections dans ce territoire de la province du Nord-Ubangi. Et, Dédé Kodoro attend sereinement la réorganisation des scrutins, pour reprendre le contrôle de son siège à la Chambre basse du Parlement.
Bien au contraire, là où il y avait eu des troubles, leurs auteurs sont clairement identifiés et connus par tout le monde, à cause des actes de violences révélés au grand jour dans certains centres, où, d'ailleurs, les témoins de Dédé Kodoro étaient obligés, le jour du scrutin, de se retirer des bureaux de vote, pour éviter un bras de fer avec les fauteurs des troubles. D'ailleurs, ces actes de violences ont, du reste, été fustigés, via la presse, par le porte-parole national du parti politique ADCN -Agir pour le Développement du Congo Nouveau-, dont l'honorable Dédé Kodoro est l'autorité morale.
Les auteurs de ces écrits, dans lesquels l'élu de Yakoma est abusivement cité, se basent sur des faits imaginaires et politiquement orientés, contenus dans un mémorandum dont les signataires ne sont pas connus et se cachent derrière la dénomination "candidats pacifistes".
Toutes ces allégations n'ont qu'un seul but, tenter de déstabiliser moralement ce député national sortant, le seul à avoir battu campagne pour le Président de la République réélu, Felix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, dans tous les 3 secteurs que compte le territoire de Yakoma, sa base naturelle. Les résultats publiés par la CENI ayant prouvé l'intensité du travail de terrain réalisé par le Coordonnateur des élus révolutionnaires de l'Union Sacrée à la Chambre basse du parlement, est resté, depuis lors, très loyal au Président Félix Tshisekedi.
Dédé Justin Kodoro n'entend nullement céder aux injures et calomnies des politiciens en mal de positionnement, qui se font passer à tort pour des pacifistes, mais, en vérité, inconnus à Yakoma et ne disposant d'aucune base et incapables de battre campagne ne serait-ce que dans la cité de Yakoma, pour ne pas parler de leurs quartiers, où ils ont été incapables de récolter ne fût-ce qu'une dizaine de voix.
Le brillant parcours scolaire, académique, professionnel et aujourd'hui politique de Dédé kodoro démontre, témoignage faisant foi, que cet homme intègre, loyal et d'une moralité hors pair, n'a jamais été cité dans une quelconque affaire de fraude, détournement ou même de corruption. C'est pourquoi, le Chef de l'État lui a fait confiance, en le désignant membre du Conseil d'Administration de la Société Nationale d'Electricité, Snel S.A.
Et, pour couper court à cette campagne de diabolisation menée par des politiciens en mal de positionnement, l'on attend avec impatience que les autorités de la Centrale électorale puissent réorganiser les scrutins dans cette partie du pays, pour que l'on se rende véritablement compte de l'évidence du soutien dont jouit Dédé Kodoro de la part de sa base électorale. Ces nouvelles élections permettront sans, nul doute, de remettre chacun à sa place. Car, l'imbroglio actuel a donné à certains candidats, incapables de mobiliser même dans leurs propres avenues, l'occasion de s'exprimer pour se consoler, en imputant des faits imaginaires à Dédé Kodoro Justin, qui bénéficie encore du soutien de ses électeurs qui l'ont massivement élu, et qui sont toujours impatients de le mandater de nouveau à l'Assemblée nationale. Même les images de sa dernière descente dans son fief électoral en sont les preuves patentes.
Cependant, en légaliste, Dédé Kodoro Justin se réserve tout de même le droit de traduire en justice, pour diffamation et imputation dommageable, toute personne qui le citerait dans une quelconque affaire liée à la situation de Yakoma, sans la moindre preuve. Il reste fidèle aux idéaux et à la vision du Chef de l'Etat, qu'il a toujours défendu en sa qualité de Coordon des élus révolutionnaires de l'Union Sacrée à la Chambre basse du Parlement, lors de la dernière législature.
En réalité, ces accusations mensongères et diffamatoires contre Dédé Justin Kodoro n'ont qu'un seul but : le discréditer auprès de l'opinion publique, de sa base, et même faire croire au Chef de l'État que son fidèle compagnon pratique la corruption. Heureusement que la sagesse et l'expérience politique de Fatshi Béton lui permettent, sans nul doute, de détecter ce sale coup et des mensonges cousus en fil blanc.