
Par Grevisse Tekilazaya
Christophe Mboso n'a pas attendu une journée pour dissiper le malentendu né de son précédent communiqué sur le coup d'état déjoué dimanche dernier, dans la capitale congolaise. Il s'agit donc d'un rétropédalage qui, sans prétention aucune, vaut un mea culpa pour ainsi faire taire la polémique.
Dans un deuxième communiqué le même jour, après celui au cœur de la polémique, pour ne pas avoir repris les cas de Vital Kamerhe, le président du bureau d'âge, Christophe Mboso, encourage le leader de l'UNC à surmonter cette rude épreuve et demande aux instances compétentes de faire toute la lumière sur cette tragédie, afin que les auteurs et complices soient punis conformément aux lois de la République.
Christophe Mboso saisit, dès lors, la même occasion pour présenter ses condoléances les plus sincères à Vital Kamerhe, ainsi qu'aux familles biologiques de ses deux vaillants gardes du corps tués lors des affrontements.
Plusieurs autres condamnations ont été entendues dans le microcosme politique, tant du côté de l'opposition que de la majorité présidentielle.