Par Bijou NDJODJI BATEKO
La ministre provinciale des Finances et de l'Économie de Kinshasa, Yvette Tembo Kulemfuka, fait peur. Il suffit, pour s'en rendre compte, de se référer aux multiples accusations de détournement dont elle est victime ces derniers jours dans les réseaux sociaux et autres médias. Des accusations qui, dénuées de tout fondement, trahissent la non maîtrise, par ses pourfendeurs, des textes régissant la gestion des finances publiques. Mais, qui sont les détracteurs de Yvette Tembo Kulemfuka ? Qui lui en veut ? Même s'il importe peu de citer les noms des fabricants de toutes ces folles accusations, quoique déjà décagoulés, les Kinoises et Kinois ont finalement compris que, depuis son avènement à la tête du ministère provincial des Finances et de l'Economie, Yvette Tembo Kulemfuka dérange ceux qui ont longtemps excellé allègrement dans de basses combines et asphyxié la ville capitale. Loin de céder aux inepties, Yvette Tembo Kulemfuka, sortie de l'école de Tshisekedi -père et fils-, poursuit, sans désemparer, les missions qui lui sont confiées par le Gouverneur Daniel Bumba Lubaki, celles de maximiser les recettes provinciales, afin de doter le Gouvernement provincial des moyens de sa politique, pour exécuter son Programme d'actions quinquennal dénommé "KIN EZO BONGA". Au même moment, pour sauver son honneur et sa dignité, la ministre provinciale des Finances et de l'Economie de Kinshasa, Yvette Tembo Kulemfuka, par le biais de son conseil, engage déjà une action judiciaire contre tous ceux qui, sans preuves, se font le luxe de l'accuser d'avoir détourné de grosses sommes de la DGRK.
Cible des accusations de détournement de fonds qu’elle qualifie de fausses et infondées, la ministre provinciale des Finances et de l'Économie, Yvette Tembo Kulemfuka, seule femme parmi les dix ministres du Gouvernement provincial de Kinshasa, vient, enfin, de fixer l'opinion publique via une mise au point de son cabinet ministériel.
Ces accusations, portant sur des sommes de 1.487.000.000$ et 7.000.000 $, sont, à ses yeux, comme des fabrications émanant d’individus qui craignent son intégrité et sa rigueur dans la gestion des finances publiques.
Sous le leadership inspiré du Gouverneur Daniel Bumba Lubaki, madame la ministre incarne une vision de transparence et de probité. Suivant l’exemple du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, champion de la "masculinité positive”, le Gouverneur a confié à Yvette Tembo Kulemfuka la préséance au sein du Gouvernement provincial, une distinction qui témoigne de son engagement. Cette reconnaissance de sa place éminente dans l’Exécutif provincial est saluée par toutes les Kinoises, qui voient en elle un symbole de force et d’espoir pour l’égalité des genres dans les sphères décisionnelles.
Une collaboration étroite et légale avec la DGRK
Dans le cadre de ses fonctions, Yvette Tembo Kulemfuka entretient une collaboration étroite, franche et respectueuse avec la DGRK -Direction Générale des Recettes de Kinshasa-, Régie sous sa tutelle, chargée de la collecte des recettes publiques. Cette collaboration, qui repose sur le respect strict du cadre légal en vigueur, témoigne de son engagement envers une gestion transparente et responsable des finances de la ville. Contrairement aux pratiques du passé, où certaines “brebis galeuses” s’adonnaient à des anti-valeurs, la ministre impose une rigueur qui rompt avec les combines d’autrefois et renforce la confiance des citoyens.
“Elle impose une rigueur et une transparence qui dérangent ceux qui espéraient continuer à opérer dans l’ombre”, explique un des collaborateurs de l'Ordonnatrice générale des recettes de Kinshasa. En incarnant cette vision de gouvernance éthique, elle consolide non seulement la transparence, mais aussi l’efficacité de la DGRK, faisant de cette Régie un pilier essentiel pour le développement de Kinshasa.
Des accusations incompatibles avec les normes des finances publiques
Les accusations de détournement dont elle fait l’objet sont visiblement dénuées de fondement, selon des spécialistes des finances publiques. Car, en RDC -République démocratique du Congo, tout décaissement de fonds aussi considérable est strictement contrôlé, chaque transaction étant soumise à des vérifications multiples dans le circuit bancaire. “Il est impensable qu’une somme de cette ampleur soit soustraite des comptes publics sans laisser de traces”, souligne un expert financier. Dans ce contexte, les allégations ne font que souligner la méconnaissance criante des détracteurs de Yvette Tembo Kulemfuka, quant aux protocoles rigoureux qui entourent la gestion des finances publiques.
Une source d’inspiration pour les Kinoises
Les Kinoises voient en elle, Yvette Tembo Kulemfuka donc, une des pionnières de l’émancipation féminine et une preuve vivante des avancées réalisées pour l’égalité des sexes en RDC. Le soutien du Gouverneur Daniel Bumba Lubaki, dans la lignée de la politique de “masculinité positive” promue par le Président Tshisekedi, en fait une figure emblématique pour toutes les femmes de Kinshasa. Elle est un exemple que le talent et l’intégrité peuvent s’imposer dans les plus hautes fonctions, même dans un monde politique où les hommes demeurent majoritaires.
Ces accusations, loin de la décourager, ne font que renforcer sa détermination à continuer de servir Kinshasa, avec honnêteté et transparence. À chaque attaque, les Kinoises se montrent encore plus solidaires de la ministre Yvette Tembo Kulemfuka, fières de voir leur représentante s’élever au-dessus des polémiques, pour incarner une gouvernance digne et exemplaire.
Et la ministre provinciale d'affirmer avec conviction : “Balinga balinga te, Kinshasa ezo bonga ! Bamata bakita, Kinshasa ezo bonga !” – ce slogan cher au Gouverneur, reflète non seulement la résilience de madame la ministre, mais aussi la voix de toutes les Kinoises qui se rallient au Gouverneur à travers elle, pour une ville plus juste, plus transparente et plus forte.