
Par Edmond Izuba
Le nom de Paul Nsapu revient de nouveau en actualité quelques jours avant la désignation du nouveau Président de la CENI. C'est justement parce qu'il est le seul homme à abattre dans cette bataille pendant la traversée de ce dernier virage. Fier des ses capacités électorales avérées, le président de la Ligue des Électeurs, pionnier des membres de la société civile de thématique électorale, est victime d'une campagne de diabolisation. Le vice-président de la Fédération Internationale des Droits de l'Homme (FIDH), Paul Nsapu est candidat dans la course à la Présidence de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI).
Une cinglante réaction du cabinet de Paul Nsapu est parvenue à la rédaction d'Opinion-info.cd. Les collaborateurs du candidat à la Présidence de la Commission Électorale Nationale Nationale Indépendante (CENI) ont alerté l'opinion nationale et internationale sur la campagne de dénigrement menée contre leur patron par certains de ses concurrents.
Un démenti a été rendu public, ce dimanche 18 juillet 2021, contrairement à l'intox de ses prétendants au poste de Président de la CENI, Paul Nsapu, du haut de ses trente ans d'expérience en matière des droits de l'homme et des questions électorales, n'a jamais été à la remorque de l'Union Européenne, dont il n'a jamais bénéficié directement ou par ricochet d'un quelconque financement.
«Il en est de même de la Ligue des Électeurs (créée en 1990), pionnière de l'éducation civique et électorale en RDC et en Afrique, qui n'a jamais été financé par l'U.E», peut-on lire sur le document.
Et le cabinet du vice-président de la Fédération Internationale des droits de l'homme (FIDH) de poursuivre : «les mauvaises langues qui s'évertuent à faire croire aux confessions religieuses et aux autorités impliquées dans leur processus de dénigrement du futur président de la CENI, l'existence de leur vue de l'esprit: ce financement imaginaire, cachent mal leur perte de vitesse dans la course, à l'amorce du dernier virage».
Les membres du cabinet de Paul Nsapu s'insurgent, en outre, contre cette campagne de «bas niveau" et rappellent vigoureusement» à leurs commentaires et meneurs qu'ils s'exposent à des poursuites judiciaires pour propos diffamatoires et mensongers.