Kinshasa : aux côtés des familles de militaires et policiers, Christella Kiakuba plaide pour la préservation et l’amélioration des acquis sociaux

Par Serge Mavungu 

Pusieurs associations qui militent pour le bien-être collectif des dépendants des militaires et policiers ont organisé une conférence de presse, ce week-end, à Kinshasa, capitale de la RDC-République démocratique du Congo-.

Devant la presse et les dépendants des militaires et policiers réunis dans la salle "Le Roseau", située dans la commune de Kasa-Vubu, Christella Kiakuba, Coordonnatrice de l'Asbl Telema Mwana ya mapinga, oratrice principale, a indiqué que "durant toutes ces années, nous n’avons cessé de rappeler le combat pour l’amélioration effective des conditions sociales des familles des militaires et des policiers. Nos familles n’ont pas besoin de slogans, mais d’actions concrètes."

Et de souligner : "Ce dont nous avions le plus besoin hier, c’était l’amélioration des conditions sociales; aujourd’hui, c’est la continuité de cette amélioration et la préservation des acquis."

La Coordonnatrice de l'Asbl Telema Mwana ya mapinga a, répondant à la préoccupation d'un journaliste, indiqué qu'à la recherche du bien-être collectif, il leur arrive d'intervenir pour des cas particuliers des dépendants des militaires et policiers par des plaidoyers.

L'occasion faisant bien son larron, Christella Kiakuba a salué la reconduction du Vice-premier ministre, ministre de la Défense nationale, Jean-Louis Mwadia Mvita. Au nom des autres associations présentes à cette conférence de presse, elle a remercié le chef de l'État, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, et la Première ministre, Judith Suminwa Tuluka, pour les efforts consentis, qu'elle considère comme une première, pour le bien-être des militaires, des policiers ainsi que des "blessés de guerre".

Pour ce faire, a-t-elle promis, une descente est prévue à la Primature puis à la Présidence de la République, non pas pour réclamer quoi que ce soit, mais plutôt pour dire merci au Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi, et à la Première ministre, Judith Tuluka.