Par Serge Mavungu
Dans sa mission de veiller à la bonne exécution des Lois et réglementations en matière des Finances Publiques, l'Inspection Générale des Finances, (IGF) s'est inscrite dans la vision manifeste du chef de l'État, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, à matérialiser la bonne gouvernance.
L'Inspecteur Général des Finances, chef de service, Jules Alingete, accompagné du ministre de la communication et médias, Patrick Muyaya, a lors d'un briefing de presse samedi 23 octobre 2021, vanté
les mérites de l'IGF grâce aux résultats probants réalisés sur terrain. Créée en 1987 et relevant de l'autorité directe du président de la République depuis 2009, l'IGF s'est recentrée à participer activement à la transparence dans la gestion publique avec comme élément clé, le contrôle.
À en croire Jules Alingete, l'IGF a privilégié un contrôle concomitant qui s'est fait au moment même que les actes de gestion soient posés. Une façon pour elle, de mettre à mal les antivaleurs dans la gestion des Finances Publiques notamment la corruption, les détournements et autres malversations financières.
"La bonne gouvernance a donc comme pilier le contrôle. On ne peut pas parler de la bonne gouvernance lorsqu'on paralyse le contrôle", a-t-il souligné.
Et Jules Alingete d'indiquer: "Le président de la République dans sa vision de mettre fin à l'impunité et de lutter efficacement contre la corruption et les malversations dans les Finances Publiques, a réactivé l'IGF".
L'Inspecteur Général des Finances a assuré que ne fait pas du populisme, elle rend plutôt compte à la population et aux ONG qui ont un rôle important à jouer.